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Selections PSG : France - Allemagne, les notes des bleus

Publié le 08 Juillet 2016 à 14h14 par Julien de Toni
Dominer n'est pas gagner, la mannschaft est au courant désormais. Un Griezmann au sommet des attaquants européens, un Lloris monstrueux et une rage collective insoupçonnée, l'équipe de france est en finale de son Euro 2016.

Les notes :


Lloris (9) : Quel match, deux parades exceptionnelles pour maintenir son équipe dans la course, une sur Müller et une sur Kimmich en fin de match. Ecoeurant pour l'adversaire.

Évra (6) : Il a eu une première mi-temps assez compliquée à gérer dans la mesure ou les Allemands ont décidé d'envahir son couloir pendant les 45 premières minutes et s'est donc retrouvé avec parfois deux adversaires sur le dos. Sa deuxième période sera nettement meilleure, puisqu'il a pu se concentrer sur son travail défensif après l'ouverture du score sur penalty. Penalty qu'il a lui même amené en poussant Schweinsteiger à la faute.

Umtiti (7) : Apres sa rentrée des classes en douceur, le petit nouveau, bien préparé, n'a eu aucun problème pour affronter le contrôle d'Allemand dès son deuxième jour. Son copain Adil a essayé de lui soutirer des réponses...En vain.

Koscielny (7) : Dans les airs, dans les jambes, avec ou sans ballon, il a essayé d'avoir toujours un temps d'avance sur ses adversaires, et il a réussi.

Sagna (6) : Il a fait ce qu'il avait à faire sur ce match, bien aidé par l'envie irrépressible des adversaires d'emmerder Patrice Evra.

Matuidi (7) : Penser que faire courir Blaise va finir par l'épuiser est une grave erreur.

Pogba (7) : La physionomie du match l'a forcé à beaucoup défendre, ce qui est loin d'être sa tâche favorite mais qu'il a fait et plutôt bien. Il avait bien sur gardé de la force dans un coin pour martyriser Mustafi et provoquer le deuxième but.

Sissoko (7) : De nouveau monstrueux physiquement, il était partout, et devoir dribler trois fois le même joueur sur une action ça fini par déboussoler.

Payet (5) : Etouffé par la possession Allemande. Remplacé par Kanté qui court encore.

Griezmann (9) : Contrairement à ses deux coéquipiers devant, il a appris à l'atletico à défendre sans abandonner sa tache principale. Il a fait mal à chaque prise de balle et bien évidement il cale son doublé, combiné de sang froid et d'opportunisme qui porte maintenant son total à 6 buts. Ballon d'Or ? Et pourquoi pas...

Giroud (5) : Quasiment pas de ballon à jouer et deux actions où il aurait pu mieux faire, mais il a combattu pour le reste de l'équipe. Et puis faire des contre-attaques sur cinquante mètres c'est pas son truc à Olivier. Remplacé par Gignac qui a eu le temps d'insulter la mère d'Howedes face camera.
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