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L1 PSG : Lorient : Notes > Un match de convalescence

Publié le 12 Mars 2017 à 23h28 par Clement
Dans un match assez terne, où l'élimination de Barcelone restait dans toutes les têtes, Paris a assuré l'essentiel et revient de Lorient avec les trois points (2-1). Voici les notes.
Trapp (5) : Le portier allemand a retrouvé le rythme de la Ligue 1. Autrement dit, il n'a rien eu à faire. Ne peut rien sur le but lorientais.

Meunier (5) : C'est sur qu'entre Neymar et Phillopoteau, l'opposition n'est pas la même. Le latéral belge a fait le boulot en défense. Fatigué, il n'est pas beaucoup monté et sort ... 10 minutes après s'être blessé à cause d'un nouveau sketch signé Serge Aurier.

Thiago Silva (5) : Le capitaine parisien n'a pas eu à forcer son talent made in Ligue 1. L'opposition était trop faible pour inquiéter le défenseur brésilien.

Marquinhos (4.5) : Comme son compatriote brésilien, il n'a rien eu à faire de toute la partie. Cependant, c'est lui qui est au marquage de Michael Ciani, qui égalise pour les Merlus, sur corner.

Kurzawa (5.5) : Le latéral parisien était appliqué. Il s'est contenté de bien défendre. Quelques montées intéressantes mais souvent infructueuses.

Rabiot (5) : Après sa performance catastrophique de mercredi soir, le milieu parisien a simplifié son jeu. Encore du déchet, mais beaucoup moins de risques. Il a, lui aussi, fait le boulot.

Nkunku (6.5) : Le meilleur Parisien sur la pelouse. Actif défensivement, il n'a pas ménagé ses efforts pour se rendre disponible. Très collectif, il a également su prendre sa chance et marquer son premier but en Ligue 1.

Pastore (6) : Alors oui, le milieu argentin n'a pas été décisif. Pourtant, sa facilité balle au pied et ses capacités à distiller nombre de caviars n'ont pas d'égal dans l'effectif parisien. Quel regret de ne pas l'avoir vu fouler la pelouse du Camp Nou.

Draxler (6) : L'international allemand avait à cœur de se donner à fond. Certes, il y a beaucoup de déchet dans son jeu mais c'est lui qui est à l'origine de la récupération et qui fait une magnifique avant-dernière passe à Cavani sur le deuxième but parisien.

Di Maria (6) : A l'instar de son collègue allemand, l'ailier argentin s'est montré très remuant mais imprécis. Il a tenté d'orienter le jeu parisien avec une plus ou moins grande réussite. Il tire le corner qui permet au club de la capitale d'ouvrir le score.

Cavani (6) : L'attaquant uruguayen n'a pas marqué ce dimanche soir. Mais il n'a cessé de travailler, de faire des appels, de se replier défensivement, d'encourager et de remobiliser ses coéquipiers. Et si c'était lui le vrai capitaine du PSG ?
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