"C'est tout Lyon, jamais ce PSG n'a eu aussi peu le ballon, en L1, qu'en première période, jamais il n'a eu autant d'espaces qu'en seconde. Personne d'autre, en visite au Parc, ne pense ainsi qu'à jouer, sans se couvrir. Et personne n'est gentil dans un sommet au point de prendre des cartons sans jamais faire mal," a d'abord expliqué Vincent Duluc dans les colonnes de l'Equipe.
"L'agressivité, l'intimidation, quelque chose d'une méchanceté qui a provoqué les blessures de Fekir et de Rafael en première période, dans un contexte général, jusqu'à la main non sifflée de Di Maria, qui n'aura pas habitué Paris à l'arbitrage en Ligue des champions quand vient le printemps," a également ajouté un Vincent Duluc plein de mauvaise foi.