L'ancien joueur, entraîneur et surtout directeur du centre de formation assure découvrir l'information : "Je n'ai jamais vu ou entendu ça, jamais de la vie. Ça m'aurait révolté. Je ne peux pas accepter que ce club que je connais depuis si longtemps soit associé à ça (...) Mais je ne peux parler que de ce que j'ai vu, pas de la période avant. Marc Westerloppe est parti quatre, cinq mois après mon arrivée."
Interrogé pour le Journal du Dimanche, Luis Fernandez rejette toute discrimination : "On ne regarde pas les origines (...) Oui, il y a de la concurrence, des choix à faire mais ils sont faits pour répondre à une seule question : est-ce que ce jeune a le potentiel pour franchir les paliers ? Ceux qui travaillent en région parisienne, je les connais. Ce sont des hommes intègres."