Pour Le Parisien, "le mariage forcé" entre le Brésilien et l'ancien entraîneur de Dortmund interroge et risque d'atteindre rapidement des limites dans la cohabitation surtout "que le premier n'a pas choisi le second, c'est entendu, la réciproque étant tout aussi valable".
Pour le quotidien, le parallèle avec le limogeage fin 2011 d'Antoine Kombouaré est évident surtout qu'un certain Massimiliano Allegri est libre comme l'air depuis son départ de la Juve. Grand admirateur, Leonardo garde forcément en tête cette alternative de haut niveau comme pour un certain Carlo Ancelotti en son époque... Les similitudes sont flagrantes.
Selon le journal, la gestion du mercato reste au cœur de l'entente entre les deux hommes. Ni l'un ni l'autre ne semble en mesure de se voir imposer des joueurs unilatéralement choisis : "Cette fois, Leonardo a les pleins pouvoirs et n'a aucunement l'intention de se laisser dicter sa conduite par les desiderata de son entraîneur. Si jamais les envies des deux hommes coïncident , tant mieux, mais cela ne sera jamais un facteur déterminant pour Leonardo. Pas sur que Tuchel et son tempérament de feu acceptent cela sans sans ciller."
L'été sera chaud !