"Si ça amuse de dire que je me suis trompé on peut le dire. Je pense surtout qu'il y a des circonstances, je pense qu'il y a des moments de la saison ou cette rotation perpétuelle a pu handicaper le PSG," explique Pierre Ménès.
"Je n'ai pas d'exemple précis en tête mais il y a des matchs ou le PSG a fait des sorties moyennes parce qu'il y avait des joueurs qui n'étaient pas à leur poste, il y avait trop d'absents, trop de rotations," ajoute-t-il.
"Là on est entré dans une autre ère, d'abord parce que le PSG s'est qualifié pour les demi-finales de Ligue des Champions, que là encore une fois, avec l'aménagement du calendrier il y a trois matchs en huit jours avant les échéances européennes, donc là la rotation est tout à fait logique," pense Ménès.
"Après oui je reconnais que Enrique a mis l'équipe type du PSG contre Barcelone et comme par miracle ça a marché et je reconnais aussi qu'il avait tout à fait raison d'aligner l'équipe qu'il a alignée contre Lyon et le résultat lui donne raison et un entraîneur ça se juge d'abord sur les résultats," a conclu le journaliste.