"En termes de statistiques, d'apports dans le jeu, de personnalité, de spectacle, d'émotions transmises, on ne peut pas parler d'échec," explique Abdou Diallo sur RMC.
"C'était un extraterrestre. Il jouait à gauche, dans l'axe, à un moment il s'est retrouvé seul en pointe. Les petits ponts, les highlights, c'était un récital," ajoute-t-il.
"Derrière, ce qui était bien, c'est qu'il y avait dix mecs qui se mettaient au service de cette individualité. Lui était un peu la cerise sur le gâteau, mais le gâteau était tellement consistant, tellement en mission et prêt à se sacrifier que la mayonnaise a pris direct," pense Diallo.
"Ce qu'on peut à la limite lui reprocher, ce sont certaines de ses absences dans le sens où, à des moments clés d'une saison, il a été absent pendant plusieurs années," a reconnu le joueur.