"En cette rentrée, Paris règle l'addition, sous l'assaut de ce calendrier, de ses lassitudes athlétiques et mentales, du tribut prélevé par le football de sélection, de la malchance, peut-être," a déclaré Vincent Duluc dans le journal de L'Equipe.
Le journaliste a souligné l'absence de recrues pour palier aux joueurs blessés actuellement : "Le PSG paie aussi de sa réticence à recruter plus largement et à anticiper les fatigues de l'an II."
Pour finir, Vincent Duluc a estimé que la rencontre face à Barcelone ne serait pas forcément celle espérée à cause des blessés : "On espérait voir le meilleur du football, dans deux semaines, entre Barcelone et Paris, et soudain passe l'ombre d'un doute"