Aulas n'a pas eu de mal à se glisser dans la peau de l'outsider face à ce nouveau PSG, même si les deux équipes comptent pour l'instant le même nombre de points au classement : "Paris a un certain nombre de certitudes que nous n'avons pas encore mais on va jouer crânement notre chance. On a beaucoup plus de blessés qu'eux. Un effectif beaucoup moins riche, beaucoup plus jeune et surtout beaucoup moins onéreux (rires). Donc petit avantage de timing pour le PSG. Mais on ne se plaint pas, ça permet de voir éclore les jeunes qui réussissent un début d'année de grande qualité. Ça faisait partie de notre stratégie."
Le président a également tenu à rendre hommage aux dirigeants du club francilien, estimant notamment que le rachat du club cet été a été une chose positive : "J'estime que les actionnaires qataris ont sauvé le PSG, mais indirectement aussi tout le football français. Le fait que le premier très gros rendez-vous de L1 se déroule dans la capitale et avec le PSG, c'est très bien pour le football. L'intégration et la rapidité de la cohésion du PSG me surprend. Donc félicitations à Antoine Kombouaré et à «Leo» qui a, comme partout où il est passé, bien fait les choses et rapidement."