Impressionné par Sirigu, le chroniqueur a néanmoins peu évoqué le contenu du match de mercredi soir pour se concentrer sur le domaine extra-sportif. "Tout porte à croire que c'était hier soir le dernier match de Kombouaré sur le banc du PSG. D'après les dernières infos, on risque fort d'avoir un Ancelotti ou un Rijkaard à la tête de l'équipe début janvier" a-t-il ainsi déclaré en relevant, ironique, la singularité de l'éventuel licenciement d'un entraîneur champion d'Automne.
Plus loin, c'est la communication de Leonardo qui est prise pour cible, notamment sa dernière déclaration à la Repubblica concernant le Parc des Princes : "Quand je lis son interview à la Repubblica [...] je trouve que c'est faire preuve d'une méconnaissance totale de ce qu'est Paris". Ces erreurs de communication amènent Pierre Ménès à rappeler, à raison, que la pression et l'impératif du résultat s'exercent autant sur Leonardo que sur Kombouaré. L'ancien n°7 parisien pourrait ainsi lui aussi être fragilisé s'il multiplie les dérapages.