Il a tout d'abord tenu à rappeler combien il était difficile de passer à autre chose après Paris : " C'est un traumatisme et c'est difficile d'enchaîner après Paris, il n'y a pas que moi qui suis concerné, je pense que c'est compliqué d'enchaîner après Paris. J'ai tenu bon, dans un contexte vraiment difficile, j'ai eu 4 présidents et au final je suis certainement peut être plus fier de ce que j'ai fait à Paris qu'avec Lyon".
Il a ensuite avoué ne pas être un supporteur du club : "J'y ai passé 10 ans, ça représente quelque chose de très fort mais je suis détaché, ça serait mentir que de dire que je suis supporter, je suis attentif aux résultats mais je ne suis pas envieux. Le meilleur est pour eux, j'ai tourné la page, j'ai souffert quelques mois mais ça va mieux".
Enfin, il reste optimiste sur l'avenir du PSG et ses nouveaux moyens financiers : "C'est un autre PSG. C'est un PSG qui a évolué, qui a une puissance économique complètement différente, c'est un PSG qui va gagner ça se sent. Le PSG a besoin d'avoir une puissance économique supérieure aux autres car le contexte parisien fait que si la puissance économique n'est pas supérieure à celle des autres, c'est compliqué" a-t-il déclaré