Blessé, le défenseur ne retournera pas à Valenciennes y défier son ancienne équipe ce dimanche. A trois matches de la fin de la saison, le Serbe espère bien aller au bout : "Ma première saison se passe très bien. Mais ce n'est pas fini et ça va être dur jusqu'au bout. On sait quel objectif on s'est donné avant le championnat : le titre. On est dans la course, on est là."
Bisevac a également abordé une notion ayant pris tout son sens à Paris depuis le rachat du club, à savoir, la concurrence : "Si on n'accepte pas la concurrence, il ne faut pas jouer au football. Dans une carrière il faut savoir prendre des risques et avoir confiance en ses qualités. C'est le mental qui fait la différence. Quand on joue dans un grand club, si on n'est pas prêt mentalement, on a beaucoup de problèmes. Je ne vais pas le cacher, on a beaucoup de très bons joueurs et, parfois, les entrainements sont plus difficiles que les matchs ! A chaque séance on doit être concentré, il faut travailler très dur. Parfois il y a 20 ou 22 joueurs convoqués pour les mises au vert. On a un gros effectif, il ne faut pas lâcher. Si tu lâches un instant, tu sors. Il faut faire attention à tout", a-t-il prévenu.