"Le PSG, je l'ai vu contre l'OM et on s'aperçoit que c'est encore une équipe à construire. Collectivement, il n'y a pas de liant entre le bloc défensif et l'attaque, parce qu'un joueur comme Pastore ne parvient pas à assurer la transition entre les deux. Il n'est pas la rampe de lancement qu'il devrait être. Il y a encore un énorme travail pour Ancelotti," a estimé l'ancien joueur désormais journaliste.
Marcel Desailly a ensuite abordé l'Ibra-dépendance : "Bien sur, mais il a aussi été pris pour ça. Là où on s'inquiète, c'est qu'on ne le retrouve pas dans le jeu du PSG comme un pivot, qui remise à une touche, dévie de la tête avec un Ménez qui tourne autour. Il n'est pas, lui non plus, la rampe de lancement d'une action. Il influe sur le résultat mais pas sur le jeu. Bien sur, il fait partie des trois meilleurs avants-centres du monde, et je dis bien avant-centre, mais on attend qu'il soit plus utile dans le collectif du PSG."