"Si la meilleure préparation était de voyager, cela se saurait. Il n'y a pas trop de soucis musculaires, les problèmes inhérents à la station assise prolongée se posent plutôt en classe économique, ce qui ne doit pas être son cas. En revanche, le décalage horaire est l'élément le plus perturbant. L'horloge biologique fonctionne avec les heures de sommeil, mais également l'ensoleillement. Et le corps aime fonctionner de façon régulière. Les perturbations jouent un rôle (...) et on se retrouve fatigué. Il faut un certain temps pour recaler l'organisme. En termes physiologiques purs, jouer dès vendredi ne paraît pas réalisable" explique Fabrice Bryand dans le journal Le Parisien.