"L'élément capital, qui a complètement libéré le jeu du PSG, c'est qu'il a gagné le titre. Remporter le premier titre de l'ère Qatar était fondamental. Cela a déclenché un souffle libérateur sur cette équipe, qui ressentait le poids d'une grosse pression jusqu'alors. L'équilibre au milieu est bien plus sur que la saison dernière. Au plus haut niveau européen, il n'y a de toute façon pratiquement aucune équipe avec deux attaquants, même si ce sont eux qui font encore la différence, avec 60 % des buts marqués. L'apport de Cavani, lui, complique encore plus le travail des adversaires, qui avaient déjà souvent du mal à neutraliser le seul Ibra," a déclaré Gérard Houiller dans le quotidien sportif.