"Chaque week-end, Paris répond présent. 4 victoires consécutives en championnat. Pas de buts encaissés, des buteurs, souvent les mêmes et un compteur qui s'affole. Paris gagne à Bastia 3 à 0, et repart de l'Ile de Beauté avec des certitudes en plus, 67 points et une place de leader qui se transforme doucement mais surement en titre de champion, avec un total de buts marqués vertigineux, 102 buts inscrits toutes compétitions confondues, un deuxième titre de suite et donc une concentration maximale sur une rencontre européenne retour qui doit servir juste à confirmer le résultat épatant du match aller le 18 février, 4 buts d'avance sans en prendre à Leverkusen. Alors, bien sur une fois le résultat acquis, on nous dit que le championnat allemand est pourri et qu'en Allemagne il n'existe qu'une seule équipe, le Bayern... Facile. Trop facile, le championnat pour Paris [...] Alors que Paris soit champion, oui et ce n'est plus drôle de se poser la question. La question du début de saison par contre se repose. Avec combien de points d'avance sur son dauphin ? Et jusqu'où en Champions League" a déclaré le journaliste sportif.
Dans son analyse de la performance des joueurs, Balbir se montre plutôt élogieux : "La cerise sur le gâteau est la forme exceptionnelle d'Ibra. Le grand suédois a été et cela pour la quatrième fois, buteur et passeur au cours d'une même rencontre. 23 buts, 13 passes décisives. Bastia l'inspire quand on se remémore qu'au match aller, le buteur avait tourné en bourrique la défense Corse, multipliant les gestes décisifs et de classe. Cavani n'était pas là. Lavezzi a marqué. Deux buts, quatre en quatre journées. Pour un attaquant parfois raillé et uniquement comparé à un coureur à pied, la réponse est donnée."
