"Il y a deux aspects qui semblent un peu contradictoires. Le FFP vient empêcher un certain nombre d'investisseurs d'investir à perte et de creuser des écarts qui sont rédhibitoires. Par contre, l'investissement du PSG peut être considéré comme ce qu'on fait un certain nombre de clubs auparavant comme le Real Madrid, Manchester United ou le FC Barcelone. Ces derniers ont eu la chance d'évoluer dans des championnats qui ont des droits télé très supérieurs à la France et puis d'avoir la propriété de leur stade très tôt. Ils ont donc aujourd'hui des actifs et des revenus qui sont très supérieurs aux clubs français. Le PSG revendique aussi le droit de pouvoir grandir" a déclaré le président lyonnais au micro d'OL TV.