"Je crois qu'il n'y a pas grand-chose à dire. On a été inexistants. Contre un adversaire comme ça, on ne peut pas se permettre d'être aussi... Allez, je vais dire moyen pour ne pas être méchant. Rien ne laissait présager ça, ça arrive. Ça n'arrive pas au bon moment et contre la bonne équipe, mais ça fait partie du jeu. A nous de retenir la leçon. Ce sont des grands garçons, ils savent qu'ils sont passés à côté. Il reste quatre matches, c'est là-dessus qu'il faut se concentrer. Je ne leur en veux pas: un jour, j'en ai pris neuf (NDLR, Monaco-Bordeaux 9-0, 1985-1986). On est passé à travers, point," a expliqué l'entraîneur lillois lors de sa conférence de presse.