"Comme un fossé social, il y a le riche et les pauvres, si on fait abstraction de Monaco, qui a su toujours rebondir, même dans les circonstances sportives les plus difficiles et c'est vrai, pas uniquement en raison de sa puissance financière. Paris est assis dans sa locomotive rutilante, avec derrière elle 19 wagons qui vont s'arracher les miettes, les accessits, des places Européennes qu'ils seront peut-être incapables de disputer à 100% car, la saison prochaine, il y aura encore moins d'argent, moins de bons joueurs, toujours plus de départs. En discutant avec quelques entraineurs depuis des années, le signal d'alarme était déjà tiré, et la corde bien tendue. Aujourd'hui, le championnat a à peine commencé, la corde a cassé. En fait, quand vous regardez le classement, vous vous dites, bien sur, que Paris sera champion, mais peut-être en cette année 2016, avec un record de points et une distance avec son dauphin de l'ordre de 15 points ou plus, à moins d'un cataclysme ou d'un imprévu," a estimé Balbir sur son blog.