"Contre Toulouse, on a vu ce qui se produit lorsque Paris est impliqué du début à la fin, ne joue pas à un rythme de sénateur et fait un travail énorme au pressing, avec notamment Matuidi et Rabiot. Après, quand tu marques deux buts dans le premier quart d'heure, le match est plié. Ce qui est triste, c'est que la leçon de Rennes n'a profité à personne et certainement pas à l'équipe qui lui a succédé au Parc. Un mec seul en pointe envoyé à la mort, tous les autres joueurs offensifs sur le banc : Arribagé n'a rien tenté. Résultat : tu prends une frappe de Di Maria d'entrée et un but-gag d'Ibra. Terminé. Et comme le PSG a continué à appuyer sur l'accélérateur, comme il pouvait le faire en fin de saison dernière, le match est devenu une véritable boucherie, avec notamment l'entrée de Lucas, qui a montré un visage qu'on aimerait lui voir plus souvent. Tant dans ses prises de balle que sur son joli but de la tête," a expliqué le journaliste sur son blog personnel.