"Nos deux équipes ''Ligue des Champions'' s'affrontaient donc dans le choc de la journée. Le PSG débute fort, très fort. Bon pressing et récupération haute. Di Maria en meneur, Ibra en 9 et pas ailleurs. Deux buts en 20 minutes et la sensation que ça va tourner en raclée. Paris joue court, long, tout est bon. L'OL est d'abord passif, organisé en 4-5-1 avec Grenier et Cornet qui, sur les côtés, tentent de densifier le milieu. Mais rien ne fonctionne et l'OL est dépassé. Et puis, une frappe lointaine cadrée de Ferri fait but. Trapp commet une boulette, une de plus. Ça fait beaucoup non ? C'est rare un gardien qui en fait autant en cinq mois de compétition."
"Ce fait de jeu regonfle l'OL. Plus présents, les Lyonnais offrent enfin une vraie réplique au PSG. Lyon est enfin plus haut sur le terrain. Et dans le début de la seconde période, la tendance perdure. Un peu. Mais l'OL a beau être un adversaire plus présentable, il reste néanmoins mené. Et il ne crée pas assez de jeu pour revenir. Paris gère, s'agace parfois de ne pas être aussi dominateur qu'au début. Mais quand il joue juste, le PSG est imparable. Au terme d'un beau mouvement collectif, Cavani boucle le match. 3-1. Encore une fois, Di Maria est passeur. Plus que le joueur du côté droit, c'est lui le meneur de jeu de ce PSG. Finalement, le PSG s'impose logiquement, facilement, tranquillement. L'OL n'a rien fait, si ce n'est arrêter d'être ridicule à la 25' minute. Au final ça fait 5-1. L'idée de départ que ça donnerait une raclée était juste," a conclu le spécialiste sur RMC Sport.