"Cette finale de 2006, pour moi, ressemblait à un Clasico au Vélodrome. On était peut-être à Paris, mais ce n'était pas notre stade, le Parc. C'était la même approche qu'un match là-bas où tu ressens l'agressivité des supporters, nombreux. Tu sens leur haine, l'envie qu'ils ont de te fracasser, mais il y a le grillage. Et toi, tu as envie de leur tirer la langue. C'est ça que les Marseillais vont utiliser samedi pour faire taire le public et les grands joueurs d'en face (...) L'ambiance était incroyable en 2006. En revanche, je crains que les Parisiens perdent le match des tribunes, samedi, et ça, ça me fout les boules. On ne va pas revenir sur le débat des supporters historiques qui ne vont plus au Parc. Quand je vais au Parc, ça m'emmerde de voir ce que c'est devenu," a déclaré l'ancien joueur dans France Football.