"J'ai déjà eu des réflexions. À Bruges, j'ai du supprimer des tweets. L'autre jour, j'ai regardé le monologue de Sarkozy sur TF1. Je trouvais qu'il s'exprimait avec aisance. Je l'ai tweeté. Direct, on m'a agressé. J'ai préféré couper court. Aujourd'hui, la liberté de ton est possible seulement si tu vas dans le sens de la marche : il fait chaud, le ciel est dégagé... Et encore, certains trouveront à y redire ! Si j'ai envie de dire quelque chose, même polémique, je ne m'en prive pas. Mais je sais aussi que mon image doit être un peu plus soignée à Paris qu'en Belgique. Les répercussions ne sont pas les mêmes," a commenté le latéral droit dans le JDD.