Pour Dominique Séverac, journaliste pour Le Parisien, Paris n'a pas fait un si mauvais match : "C'est un 2-2 aux airs de victoire pour le PSG puisqu'il était mené 2-0 à la stupeur générale à la pause. Les choses étaient dramatiquement engagées pour le Paris Saint-Germain, mais il a fait preuve d'une capacité de réaction tonique, fantastique. On a vu une équipe qui n'a jamais lâché son entraîneur de la première à la dernière seconde. Seulement, dès qu'un tir cadré est subi par Areola, c'est but (sur les septs derniers tirs cadrés subis, le PSG en a encaissé sept) : 3 à Montpellier, 2 contre Ludogorets et 2 contre Nice. À a 80e minute, Balotelli a tiré et Areola a capté le ballon, c'est peut être à ce moment là que la saison a basculé."