"Suite à l'Euro 2016, qui a été une grande fête populaire, on a retrouvé une Ligue 1 avec une faible attractivité. Par exemple, nous avons moins de « marquee players », c'est-à-dire de joueurs à fort potentiel marketing. Le plus important d'entre eux, Zlatan Ibrahimovic, a quitté le PSG cet été. D'ailleurs, le club parisien présente en cet exercice 2016-17 l'une des équipes les moins séduisantes de l'ère QSI [...] Aujourd'hui, en France, seul le PSG réalise un travail sérieux pour mieux connaître ses spectateurs. Le club travaille sur une segmentation très fine de sa fan base en tenant compte de multiples critères et en menant des études sur les motivations et les attentes de ses spectateurs," a déclaré le professeur au site internet ecofoot.fr.