"Il y a eu beaucoup de moments où j'ai été heureux au PSG. Mais c'était surtout quand j'entendais les supporters crier 'Weah ! Weah ! Weah !' Ils m'ont tellement poussé... Marquer des buts, c'était mon travail. Mais la motivation principale, elle vient du peuple," a déclaré Weah dans les colonnes de l'Équipe.
A contrario, il a également souligné un mauvais souvenir de son époque parisienne : "Quand Artur Jorge ne m'a pas fait jouer contre Arsenal en 1994, lors de la demi-finale retour de Coupe des Coupes. Je n'ai jamais compris ça de ma vie. Jusqu'à ma mort, je ne comprendrai jamais. Car même en n'entrant que cinq minutes, j'aurais peut-être pu changer le match," a-t-il regretté.