Avoir déjà terminé son recrutement est un atout non négligeable : "On a été assez perturbés par le Mondial et le départ des internationaux. La dernière recrue est arrivée jeudi dernier, c'est bien, on est dans les temps. Recruter plus tard demande un temps d'adaptation plus délicat. Tandis que là, toutes les recrues seront dans le coup pour la reprise du championnat. C'est important pour eux et pour l'équipe. J'en suis satisfait. J'aime bien avoir tout le monde dès le départ."
Durant ce mercato estival, il a surtout été question d'ajustements : "On a essayé d'équilibrer et de renforcer des secteurs un peu pauvres en nombre. Le côté droit était un peu déficient, on manquait d'appui et de soutien en attaque, on avait une charnière centrale unique. On a essayé de prendre des joueurs à challenge : ils viennent dans le but de progresser ou de prendre une revanche. On a fait un recrutement dans la continuité de l'équipe. On n'a rien bouleversé. C'est donc qu'il y avait de la qualité."
Cette intersaison est sa première à Paris : "Là aussi, je suis dans la continuité de mes six premiers mois. Je n'ai pas de recette miracle, mais j'ai des convictions et j'essaie d'aller au bout. C'est mieux d'essayer de les faire passer dès le départ. Mais ce n'est pas pour autant un gage de longévité ou de réussite. Un grain de sable enraye vite la mécanique."