"Je peux comprendre que quand on est Lyon, et qu'on a le PSG et Monaco devant soi qui t'enlèvent deux possibilités d'accès aux deux premières places, on a les boules. Il ne reste qu'une place à prendre en Champions League pour un club de français « normal », enfin normal, il y a de l'argent chinois à Lyon ou Nice, un actionnaire américain à Marseille..." a lancé le coach sur RMC.
Avant de poursuivre : "Ceux-là, ils ont regardé ce que le PSG a fait depuis 6 ans alors que la L1 allait vers le cimetière. A cette époque là on disait qu'aucun club français ne pourrait gagner la Champions League. On peut avoir les boules à la place d'Aulas, et à Paris et à Monaco, on peut avoir un sourire cynique, en le regardant. Le monde est ainsi. Il a face à lui un pouvoir financier sans limite. Ce que je trouve incroyable d'ailleurs, c'est qu'on les empêche de dépenser leurs sous ! Nous, pour notre championnat français, on est bien content qu'il y ait le PSG."