Pour le journaliste, la tension au sein du vestiaire n'est pas si dramatique que cela : "C'est vrai que certaines phrases n'ont pas plu. Mais ça ne va pas plus loin que ça. Il n'y absolument pas la zizanie. Qu'il y ait les fameux clans, on le sait depuis le début de la saison. Les Brésiliens aiment être entre eux et Cavani est solitaire, un peu comme Di Maria, et le clan des Brésiliens est un peu dominateur."
Daniel Riolo a ensuite expliqué ce qui pousserait les médias à insister sur un épisode qui semblerait plutôt banal dans un vestiaire de football : "On va continuer à en parler et à raconter que ça va péter. Il n'y a pas assez d'actu dans le foot, le PSG fait vendre et ça fait plus vendre si l'on dit que c'est la merde," a-t-il conclu sur l'antenne de RMC.