"Avec lui, on a toujours une impression de danger permanent. À tout moment, il peut se passer un truc. Sur le premier match de groupes, Didier aurait pu le sortir comme il a sorti Dembélé et Griezmann. Dans le jeu, il n'était pas mieux que les deux autres de devant. Mais il est tellement imprévisible," a d'abord expliqué Alain Roche pour L'Equipe.
"On peut lui reprocher, en revanche, de courir un peu trop avec le ballon alors qu'il pourrait le libérer. Il en fait trop par moments. Dans le dernier quart d'heure, face à l'Australie, il pouvait centrer à une ou deux reprises mais il a préféré faire son crochet intérieur, qui n'a rien donné," a-t-il ajouté.