"Il y a incontestablement eu un déclic en termes de comportement lors du match face à Liverpool au Parc. On a revu à Belgrade, face à une opposition évidemment moins forte, les mêmes attitudes. On a vu une grande équipe, avec de grands joueurs, qui a fait une première mi-temps assez exceptionnelle et aurait pu marquer un ou deux buts de plus avant le repos," a-t-il lâché.
"Kehrer était alors à la rue et tient aujourd'hui son rang. Verratti aussi a retrouvé des couleurs (...) Alors évidemment, même si Cavani a été bon, les deux autres ont survolé la rencontre. Mbappé : une passe décisive, dans le coup sur le but de Neymar et buteur sur le quatrième (peut-être hors-jeu)," a poursuivi le journaliste.
"Neymar : très collectif avant le repos, un peu plus individualiste en seconde mais avec un nombre démentiel de fautes subies de la part de Serbes qui avaient visiblement mis un contrat sur sa tête, un but extraordinaire de sang-froid et une passe décisive pour Mbappé. Ce qu'on appelle des copies propres," a conclu Pierre Ménès sur son blog.