"Aussitôt qu'ils entendent 8e de finale, leurs jambes se mettent à claquer. Ils sont tous tétanisés. Tous... sauf un, Neymar. Lui, c'est l'inverse, il est galvanisé par l'enjeu, il se révèle dans les moments critiques, et c'est d'ailleurs lui le grand artisan de la première remontada. Il était dans le camp d'en face, celui de ceux qui n'avaient pas peur... C'est d'ailleurs pour ça qu'il avait été recruté, le bougre," explique d'abord Cazarre.
"Seul petit problème : la première année, il était blessé ; la deuxième année, il était blessé ; et, cette année, il n'est pas blessé, il est hors de forme. Il est en surpoids, il pue le gin tonic à deux kilomètres et il se traîne sur le terrain comme Houellebecq au salon du livre, mais il n'est pas blessé," a ajouté avec humour Julien Cazarre dans les colonnes de France Football.