"Sur les Qataris, j'y suis allé un peu fort, mais je persiste à penser que ce n'est pas normal qu'en Ligue 1, un club dispose d'un budget à 700-800 millions d'euros quand d'autres plafonnent à 60 millions d'euros," a d'abord déclaré Jean-Michel Aulas.
Pour le président de Lyon, les choses doivent changer : "Il faut trouver un mode de régulation structurel, qui ne sera plus le fair-play financier tel qu'on le connaît, mais qui permette un réel équilibre compétitif. Cela passerait, par exemple, par un plafonnement des salaires ou une meilleure répartition des recettes. Sinon, l'OL, comme d'autres, ne peut pas lutter, surtout face à des clubs financés sans limite par des États comme le Qatar."