Publié le 30 Avril 2021 à 13h27 par Stevy
Ce mercredi, le Paris SG s'est incliné 2-1 contre Manchester City au Parc des Princes, dans le cadre de la demi-finale aller de Ligue des Champions. Mais les parisiens peuvent-ils encore se qualifier ?
Pour le consultant Mickael Madar, le PSG peut réaliser l'exploit : "Un décrochage mental du PSG mercredi à la pause ? Je pense qu'il y a un côté psychologique dans ce match là, mais c'est la conséquence d'un problème physique. Je les ai trouvés en dedans physiquement. Après avoir réalisé une telle première mi-temps tu peux baisser de pied parce qu'il y a eu des efforts de tous les joueurs, même des attaquants", a d'abord expliqué Mickael Madar sur le plateau du Late Football Club.
« Le PSG n'est pas une équipe qui a l'habitude de défendre et de courir »
"Même s'ils n'ont pas été efficaces offensivement. Je trouve que c'est le contrecoup de cette première mi-temps. Après, quand vous êtes moins bien physiquement et que vous prenez un but, là vous êtes atteints mentalement. Donc pour moi, c'est plus une question de physique à la base. Le PSG n'est pas une équipe qui a l'habitude de défendre et de courir", a poursuivi le consultant.
« Ils sont parvenus à le faire mais pas sur la durée »
"Là, elle l'a fait, elle a récupéré des ballons, elle a réussi à se projeter. Ils sont parvenus à le faire mais pas sur la durée. Il y avait un bloc avant d'exploser. Ils ont des joueurs offensifs qui défendent contre-nature. Il y a des joueurs qui revenaient de blessure comme Marquinhos, Verratti ou Neymar, ça fait beaucoup de joueurs. Physiquement, ils ont peut-être été atteints", a rajouté l'ancien footballeur.
« Je pense qu‘avec Neymar et Mbappé au top mardi prochain ils peuvent le faire »
"Cette année, on a eu beaucoup de cas où ceux qui ont fait la différence, ce sont les deux de devant. Mercredi, ils n'étaient pas là. Donc, c'est quand même plus compliqué pour le PSG de gagner. Là, même si le résultat est dans leur défaveur, je pense qu‘avec Neymar et Mbappé au top mardi prochain, ils peuvent le faire", a conclu Mickael Madar.
