"Au Paris Saint-Germain, le moment où le vestiaire a été le plus tenu, c'est quand Ibra était là. Avec les limites qu'il avait dans les matches de très haut niveau. Mais durant cette période-là, Paris avançait en Ligue des champions, au moins jusqu'au crash contre Manchester City," s'est souvenu le journaliste sur RMC.
Avant de rajouter : "Et cela grâce à l'autorité naturelle qu'il avait et aux deux ou trois tartes qu'il arrivait à distribuer aux petits jeunes qui gangrenaient le vestiaire. Aujourd'hui plus personne ne le fait et les clans se superposent à l'intérieur du vestiaire, les Brésiliens, les jeunes français, les autres qui naviguent..."