Face à la presse, Barcola a d'abord évoqué sa première convocation avec les Bleus : "C'était une fierté de venir ici. Je voyais le château de l'extérieur. D'être dedans, c'est vraiment bien. Tout le monde m'a bien accueilli, je suis très content. [...]Si je suis ici, c'est que je le mérite, je vais aborder ça tranquillement."
Barcola a rajouté : "En mars, quand le coach a dit qu'il me suivait, je me suis dit qu'il y avait une petite possibilité. Je me suis donné à fond pour être ici. Mes axes de progression ? Être plus dans la surface. Mieux lire les trajectoires sur les centres. Avoir plus de stats, marquer plus de buts."
Sur son ascension : "Tout est allé plutôt vite. J'ai toujours fait du mieux possible. Avec Lyon, c'était très bien, je remercie Lyon. À Paris, j'ai réussi à avoir cette place. Je suis vraiment content de ce qui m'arrive. Je sais pas trop ! C'est aussi ça le foot, ça va très vite. Parfois les trains ne passent qu'une fois et il faut réussir à être dedans."
Sur son apport pour l'équipe de France : "Le coach m'a dit d'apporter ce que je fais à Paris : vitesse, technique, un peu de folie. La différence avec les Espoirs ? Le niveau technique déjà. Il y a très peu de pertes de balle. L'exigence des joueurs n'est pas la même."
Sur les JO : "Honnêtement je ne sais pas trop, on va voir après l'Euro avec le club et Thierry Henry que je n'ai pas eu."
A propos de Luis Enrique et Warren Zaïre-Emery : "J'ai la confiance de Luis Enrique, il m'a mis sur le terrain même dans les moments difficiles. Warren Zaïre-Emery ? On est proches, on est potes. On est contents d'être ensemble ici. On se donne des conseils."