"Certains trouvent l'ambiance actuelle artificielle, mais je ne leur donne pas raison. Avant, il se passait des choses inacceptables au Parc, jusqu'à la mort de supporters. Aujourd'hui, ce n'est plus le cas et on cherche à passer d'un modèle sécuritaire à une culture de l'accueil. Dans les tribunes, une nouvelle culture va prendre forme, différente de la culture des tifos. (...) Il y a moins d'ambiance parce que les ultras ne sont plus là, mais il y a aussi moins de problèmes. Le dialogue est désormais rompu avec les anciens leaders des virages. Une solution intermédiaire a été impossible à trouver parce qu'à Paris il y a eu une frontière trop poreuse entre ultras et hooligans", a précisé Jean-Claude Blanc dans L'Equipe.