Sur son niveau de jeu
"Je suis satisfait, mais je peux donner encore plus. Je n'ai pas encore retrouvé mon niveau de Naples. Je dois m'adapter à une nouvelle vie. Mais cela ne m'empêche pas d'être très exigeant envers moi-même. Je sais que je dois faire mieux, être plus régulier, par exemple. Ou marquer plus de buts qu'en Italie, où j'avais un autre rôle. A Paris, j'évolue plus souvent qu'avant dans la surface. C'est une autre façon de jouer. Mais ça me va aussi. Croyez-moi, vous n'avez pas encore vu le meilleur Lavezzi."
Son association avec Ibrahimovic
"Cavani joue plus avec l'obsession du but quand Ibra, lui, apprécie de venir chercher les ballons. Difficile de dire que j'étais meilleur en jouant avec l'un plutôt qu'avec l'autre. Je dois m'adapter et tirer le maximum de mes qualités. Je ne sais pas si on peut dire qu'Ibra est dur avec ses coéquipiers. Disons que c'est sa manière d'être. Il peut te dire des choses, comme tu peux lui en dire. Quand tu es joueur, tu sais que ça peut se passer ainsi au cours d'un match, pas seulement avec Ibra. Si des joueurs se taisent parce qu'il s'appelle Ibrahimovic, ce n'est pas bien. Les gens pensent à tort qu'on ne peut rien lui dire. Sur un terrain, on doit être capables de tous se parler entre nous et on doit tout se dire. Ibra, moi, les autres, ce qu'on veut tous, c'est gagner des titres."
Le mach face à l'OM
"Ces matches sont les plus beaux moments à vivre pour un joueur. Pendant la semaine, on sent une atmosphère particulière. Pour les gens, un Classique est parfois plus important que la Ligue des Champions. A l'entrainement, ce n'est pas forcément une préparation différence mais, dans la tête, tu vis les choses autrement. Le plus beau, c'est quand tu pénètres dans le stade. Là, tu te rends compte vraiment de la passion qui entoure ces matches."
