"C'est une décision logique. Les faits qui sont reprochés à Leonardo sont hyper importants. On bouscule un arbitre, ce qui est formellement interdit par les lois. On sait de plus en plus que les commissions veulent que les dirigeants donnent l'exemple. Si cela contrarie le fait que Leonardo soit l'entraîneur ? Il faut d'abord régler le cas Carlo Ancelotti. Tant qu'il n'est pas parti, il est encore l'entraîneur du PSG. On ne sait pas ce qu'il peut se passer pour Leonardo. Du côté du Qatar, on tient énormément à l'image. Si des gens pensaient que Leonardo pouvait être entraineur du PSG, je pensais le contraire. Il est en charge du secteur sportif, ce qu'il a très bien fait jusqu'à présent. C'est peut-être encore à lui de chercher ou de convaincre Ancelotti de rester entraîneur du PSG," a estimé l'ancien entraineur du club.