"Il est quelque peu surprenant qu'il ait fallu attendre l'été 2014 pour entendre M. Nasser Al-Khelaïfi se plaindre des règles s'imposant dorénavant au PSG. Comme si, finalement, il lui avait fallu le temps de se confronter au mercato 2014/15 et à l'impossibilité de suivre le rythme du Real de Madrid, de Barcelone ou encore de Manchester United, pour se rendre compte de l'iniquité du FPF. Le FPF est une véritable chape de plomb sur le développement de clubs tels que le PSG et à un degré bien supérieur, sur celui de Monaco. M. Rybolovlev ne peut engager son argent dans son entreprise. Nous pouvons aisément comprendre que les recettes générées par l'AS Monaco en termes de billetterie et sponsoring ne suffiront jamais à permettre au club de se développer et à devenir un grand d'Europe," a déclaré l'avocat dans le Huffington Post.