"On sent bien que Leonardo représente quelque chose à Paris, même s'il n'y a joué qu'un an. Le côté classieux, donneur de leçons, mais aussi brillant, intelligent, beau gosse, ça parle aux Parisiens. Leonardo pour l'aspect institutionnel, et sur le plan sportif, je dirais Zlatan. Il ne parle pas français mais ça ne pose de problème à personne. Ibra représente quelque chose à Paris, avec son côté à la fois balkanique et latin. A son arrivée, je pense que les médias ne se rendaient pas compte de l'impact qu'il allait avoir et du phénomène qu'il allait devenir. En l'espace de quatre-cinq mois, il est devenu le patron du PSG. Il y a quelque chose dans la personnalité de Zlatan, dans son jeu, dans son discours qui parle à l'âme parisienne," a-t-il confié au micro d'Europe 1. Effectivement, qui pouvait prévoir un tel engouement autour de la vedette parisienne ?