"A Paris, il y a eu un avant et il y aura un après Zlatan. Il a rempli un rôle déterminant en termes de marketing et sur le plan sportif notamment en donnant le signal aux grands joueurs de la planète que le projet parisien était crédible puisqu'il l'avait accepté. David Beckham a ensuite joué son rôle, dans un autre registre à l'international, en tant qu'accélérateur mais le Suédois, c'est le big bang, c'est celui qui a tout rendu possible. Que son successeur fasse partie du top 10, c'est une évidence, mais il doit aussi appartenir au top 10 médiatique, notamment en termes de présence sur les réseaux sociaux, là où Ibra était en retrait, question de génération. Un club comme Paris ne peut pas se contenter d'un joueur fade, d'un joueur comme Cavani, par exemple, pour porter le projet. Ce projet se rapproche du modèle NBA où de grands joueurs incarnent leur club. Et ils sont rares : Neymar, Messi, Ronaldo, et ensuite on descend d'un étage," a analysé Chaudel dans France Football.