"Quand il est arrivé à Paris, lors du stage au Qatar (NDLR, en janvier 2012), à la fin d'un match amical contre l'AC Milan, tous les joueurs italiens sont arrivés dans notre vestiaires. Ils lui tiraient la joue, l'embrassaient, lui mettaient la main dans les cheveux et tout. On se regardait et on se disait : mais comment ça se fait ? Pour nous, Carlo Ancelotti, c'était un entraîneur renommé, qui avait la Ligue des Champions. Comment pouvaient-ils lui faire ça ? Après, j'ai compris. Chez nous, même ceux qui ne jouaient presque jamais, comme Siaka Tiéné, arrivaient avec le sourire le lendemain des matchs. Il s'occupait de lui comme d'un Ibra ou d'un Thiago Silva. Il nous disait si un jour vous vous êtes couchés un peu plus tard parce que de la famille est arrivée, ben voilà, vous venez me voir le lendemain et vous ne vous entraînez pas au lieu de vous blesser," s'est rappelé l'ancien Parisien dans les colonnes de l'Équipe.