N'ayant pas été convoqué par Dunga pour disputer la Copa America, Lucas était présent dès la reprise du club parisien et va ainsi réaliser une préparation pleine avant d'entamer cette nouvelle saison. "Plus lever la tête ? Ils sont tout le temps en train de m'orienter, le coach, l'adjoint, même les joueurs, hein. Parfois, on me dit : 'Tu dois faire tel déplacement, tel appel' ou alors 'quand tu es là tu dois dribbler et quand tu es ici tu dois tirer'. Thiago Silva m'aide énormément sur le terrain. Maxwell aussi, donc j'essaye d'être toujours à l'écoute et de faire ce qu'ils me demandent, d'aider plus défensivement aussi, pour devenir un joueur plus complet. J'ai beaucoup appris sur les déplacements, les appels, le jeu sans ballon. J'essaye toujours d'améliorer les fondamentaux, le tir, le dribble, je ne suis jamais satisfait parce que je suis jeune. J'ai beaucoup à apprendre, à prouver. C'est ce que j'aime faire. Je rentre sur le terrain pour m'amuser, pour montrer à tous le talent que j'ai. Je joue avec amour, c'est pour ça que je m'applique au maximum", a confié Lucas, conscient de l'évolution de son football depuis son arrivée en Europe en janvier 2013.
Le joueur a ensuite été invité à évoquer et comparer Laurent Blanc à son prédécesseur : "Carlo Ancelotti était beaucoup plus 'paizao' (une sorte de père), disons qu'il y avait plus d'affection avec les joueurs. Laurent Blanc aussi, mais plus à la française, un peu plus sec. Carlo Ancelotti était plus attaché à ce côté émotionnel."