"J'avais dit que les deux premiers matches seraient un peu expérimentaux pour nous, parce qu'on n'était pas prêt pour Troyes et Paris... C'est Paris. Il n'y a pas de pression du résultat, juste l'envie de bien faire les choses, d'avoir des situations de jeu intéressantes. Qu'on évite de donner le bâton pour se faire battre."
"Non. Malgré tout, ils vont jouer à onze, c'est rassurant. Ils ont tous deux bras, deux jambes. Qu'est-ce que vous voulez dire? Les joueurs ne sont pas idiots : ils savent très bien où ils mettent les pieds. On n'a pas besoin de changer de discours. Ce sont les matches les plus faciles à préparer. Il faut jouer en essayant d'être le plus compact possible et entreprenant quand on aura le ballon."
"On va surtout jouer comme on va pouvoir. En général, contre Paris on n'a pas la balle. On sait qu'on aura des possibilités dans le match - je l'espère, du moins. Mais on s'attend à ce que Paris ait la maîtrise. On va mettre une tactique en place. On envisage plusieurs scénarios."
"Absolument pas. Ce n'est pas Ducourtioux, qui a 37 ans, qui va trembler aujourd'hui quand on va jouer contre Paris. Il n'a pas la carrière de Thiago Silva, mais il en a quand même joué des matches de Ligue 1... Le Parc, il connaît. La petite inquiétude, c'est peut-être pour ceux qui ne connaissent pas l'ambiance, mais on compte sur les anciens pour ne pas qu'il y ait de trac particulier."
"Donc Lille a été ridicule l'année dernière (1-6, le 25 avril) ? Guingamp a été ridicule (6-0, le 8 mai) ? Pourquoi serait-on ridicule ? On va jouer avec nos moyens. On n'a pas peur d'être ridicule, loin de là. On peut en prendre une bonne, mais on verra ce que ça donnera. On va jouer notre chance. Comme il n'y a pas de pression, c'est un bon match pour que les joueurs se rendent compte du niveau à avoir."
"Si on fait peur au PSG... Ce n'est pas le Gazélec qui fait trembler Paris. Déjà qu'ils ne tremblent pas face à Chelsea... Soyons sérieux. On est un tout petit club. Ce n'est pas nous qui allons gâcher les nuits de Thiago Silva ou de David Luiz. Le résultat du match de Paris m'importe peu. On n'a pas budgétisé trois points ou même un. Paris, c'est du prestige, une mise en lumière," a confié le technicien du Gazélec en conférence de presse.
