"Les Parisiens, s'ils ne s'imposent pas à eux-mêmes la plus grande exigence, ils s'endormiront. Et ce n'est pas le public du Parc des Princes qui risque de les réveiller(...). C'est un public qui fait du bruit à chaque fois qu'il y a deux buts d'écart, qui chambre Trapp, siffle Rabiot, n'est pas capable d'organiser un chant de soutien, scande ''on est chez nous'' alors qu'il est chez lui, ce qui réduit l'intérêt de la revendication, et laisse le dernier quart d'heure s'égrainer dans un quasi-silence, au-delà des ''olé'' qui disent beaucoup d'une éducation et d'une culture. Dans le seul stade où il y a encore du football de très haut niveau, on peut regretter que ce très haut niveau n'existe pas à tous les étages !" a confié le spécialiste sur L'Equipe.