"Ne croyez pas que Zlatan ou Thiago Silva vont en faire une affaire d'Etat. Bien sur qu'Aurier va prendre une grosse soufflante. Mais ils ont aussi besoin d'un Aurier au top de sa forme en avril et en mai. Eux ne pensent qu'à ça : gagner la Ligue des champions. La morale ne vient qu'après. On ne peut pas comparer l'affaire d'Ibra avec son ''pays de merde'' et celle d'Aurier. L'insulte d'Ibra n'était pas anodine mais très peu claire (que voulait-il dire vraiment ?), filmée par une caméra de télé, dans l'énervement de la sortie d'un match (ndlr : défaite 3-2 à Bordeaux le 15 mars 2015). Je sais qu'Aurier a dit tout haut et de manière profondément débile certaines choses qu'il partage avec des coéquipiers. Comme dans toute entreprise, la figure du chef (ici c'est l'entraîneur) est parfois contestée, moquée, raillée. Dans le cas présent, cela a juste pris des proportions énormes parce que c'est dans l'espace public", a commenté le journaliste du Parisien dans un chat organisé avec les internautes du quotidien francilien.