"Bien sur que Laurent Blanc est responsable. Mais pour résumer, il n'a pas eu ses joueurs cadres en sa position pour rivaliser avec Manchester City. Il a mis un système, les joueurs n'ont pas adhéré. Ils se sont retrouvés un peu perdus. Sur ce second match, on a vu une animation offensive quasi-nulle et une envie similaire. Ils n'avaient pas envie de gagner pour aller en demi-finale [...] Zlatan ? Je rejoins les opinions, il ne faut pas qu'il y ait deux coqs dans une même basse-cour. C'est un joueur qui a un charisme assez important. Mais il est autant bénéfique sur le terrain que nuisible dans un groupe", a estimé Madar.