Pour Aulas, Paris n'est pas correct : "C'est de la concurrence déloyale. On avait déjà à faire face à un apport d'un gouvernement dans un contexte qui devient inégalitaire. Quand vous avez 150 à 200 millions d'argent déversés qui viennent d'un gouvernement, vous ne pouvez pas lutter, construire une identité concurrentielle qui fait qu'à tout moment, tout est possible. Quand tout est possible, on crée le suspense, l'envie des supporters et la valeur en termes de droits TV. Je suis heureux que le PSG ait la plus belle équipe sur le papier mais inquiet qu'on soit dans un contexte concurrentiel qui aura du mal à s'exprimer si le fossé est trop important entre les équipes. Ce n'est pas bon pour le football français."