"Je considère que si on veut avoir un football professionnel qui a de la valeur, sur le plan médiatique, des droits télévisés, il faut qu'il soit compétitif. Pour cela, il ne faut pas que le PSG termine comme la saison dernière avec 31 points d'avance. Il faut trouver au sein de l'organisation un certain nombre de règles pour permettre que la compétition soit disputée. Je suis pour que les équipes soient les plus fortes possibles, mais dans le cas actuel, le PSG ne vit pas de ses propres ressources. Il est subventionné par un Etat qui vient polluer complètement le fonctionnement d'une économie qui est traditionnelle," a critiqué le président de l'OL.